Depuis trois jours maintenant de retour. Toujours un peu de jetlag. On échappe plus à la crise financière, rate la Libye, DSK, la et les dettes….le courrier, les traductions….et l’anniversaire de Robert Redford (75!)
Pendant 3 semaines nous avons quasiment oublié tout ça, troqué contre des paysages époustouflants (volcans, étendues immenses, patchwork de champs, la forêt amazonienne), une faune étrange (baleines à bosse, fous, frégates) , un peuple accueillant, pauvre, une économie à trois vitesses….
Je vais – au cours des semaines qui viennent et au rythme des opportunités d’agenda – faire le récit de ce voyage.
1er jour:
Départ de Lyon pour Madrid ou nous passons une journée avant le départ prévu pour Quito.
Sous une chaleur de plomb visite rapide des ruelles au sud de la Plaza Mayor, Palacio Real – cherchant souvent l’abri de cafés, dînant pas loin de la Plaza Pte Cerrada …. humant les accents espagnoles…(bien conttent de retrouver la langue de Cervantes endormie sous les tsunamis anglais et français)
Nous nous pointons le lendemain (dimanche) avec notre petit groupe de 9 dont 3 enfants (nos amis parisiens ont pris des vols KLM et/ou Air France – il y en a qui ont des « miles » à dépenser…- sont partis de leur côté directement de Paris). 3h30 avant le départ, une fois arrivé au desk, on nous signale que notre petit groupe est en overbooking….
Nous ne sommes pas seuls – mais une petite trentaine dans le même cas…. Branle-bas combat au guichet d’Iberia.
Etant donné que notre groupe devait se retrouver le 31/1er pour une visite de Quito et un départ de la ville vers Otavalo le lendemain on l’avait mauvaise. Nous arrivons à faire partir les enfants avec leur mère en classe d’affaires et à obtenir un vol pour Panama (avec de la bas départ le 1.8. au matin pour Quito).
Arrivée le soir tard, nous n’avons rien vu à Panama, juste une piscine d’un hôtel près de l’aéroport. Chaleur humide difficile.
mon premier contact avec la nature luxuriante subtropicale
Coquecigrues et ima-nu-ages 