Quelques jours en Italie – avant que la COVID et les grèves du personnel des compagnies aériennes nous empêcheront de nouveau toute escapade au-delà des frontières françaises. Programme :
Naples, Praiano (Positano/ Amalfi/ Ravello/ Sentiero deigli Dei – Path of gods), Sorrente ( Pompeii), Ischia (Procida)…..home (et cela en douze jours)
Arrivée à Naples par vol Easyjet (nos enfants nous reprocheront un jour notre bilan carbone). Booking.com nous a offert – je n’ai toujours pas compris pourquoi – un transfert taxi jusqu’à l’hôtel (hôtel Rex Lifestyle) près du Castel dell’Ovo). Nous l’avons bcp apprécié dès notre arrivée, mais encore davantage en voyant à notre retour (effectué en bus) les queues immenses devant la station du bus de l’aéroport.
Une fois déposées les valises sortie illico presto au bord de mer. Vue sur le Vésuve majestueux. En passant par la Piazza del Plebiscito, Palacio Reale di Napoli et ensuite entame de la montée de la Via Toledo….
Vue l’heure, bifurcation dans les quartiers espagnols ( quartieri spagnoli – patrimoine de l’UNESCO). Déambulation pittoresque…imprégnation de la vie napolitaine telle qu’on l’imagine après les lectures et/ou films, avec des scooters pétaradants…et surtout déjeuner dans une trattoria comme il y en a des « centaines » ici.
Nous avons quitté ces quartiers pour rejoindre de nouveau la Via Toledo, ce grand axe qui rejoint la Piazza Dante d’où on avait l’intention d' »attaquer » le quartier historique de la ville. Vu notre lever tôt (à 5h), on s’est « reposé » un peu dans un café littéraire (Il tempo del vino e delle rose).
Ensuite début de nos déambulations dans le quartier historique (Centre Storico). Sachez, que Naples fait partie des plus anciennes villes d’Europe (et a enregistré des périodes romaines, normandes, angevines et aragonaises… et offre donc une large palette de sites….. – dont certaines « souterrains »)
– A souligner (à mon goût) la belle Basilique Santa Chiara (datant de 1310 – !) et ou nous avons assisté à un cortège impressionnant d’invités à un mariage « très chic »).
Nous avons regretté de ne pas avoir pu visiter le fameux cloitre et voir ses fresques (fermé à notre arrivée) – c’était samedi ! Trop de queues devant la chapelle Sansevero… (chef d’œuvre baroque)….donc encore un « immanquable » (selon les guides) raté.
En passant, sur notre retour à l’hôtel, par plusieurs places et dans de petites ruelles,
nous avons débouché sur la Galleria d’Umberto I qui m’avait tant émerveillé en 1972 lors du voyage de notre classe (de Latin) à Rome et Pompéi (avec 3h de « temps libres » à Naples) – je ne connaissais à l’époque ni les galeries parisiennes, ni celle de Nantes ni celle de Milan et voyagé et/ou quitté la région de Düsseldorf.
Retour à l’hôtel….et assez rapidement re-sortis pour dîner un peu avant l’horaire des italiens.
L’avenue du bord de mer (Via Partenope) ceinte d’hôtel de luxe et de restaurants à la pelle était le théâtre de la passagiata, ce défilé des couples et familles endimanchés. Sentiment naissant d’être en vacances.
Coquecigrues et ima-nu-ages 