Avant de faire une pause d’au moins une semaine (mon déménagement est proche) – et je n’ai pas eu le temps pour écrire ni une entrée pour « Serre moi-fort » (Almaric) ni sur le dernier livre impressionnant de Yves Tanguy (« La fille qu’on appelle ») je vous propose juste une petite ballade parisienne.
Je suis « monté » à Paris pour une journée et demie (le Jury du Prix François-Callé a voté pour le/la lauréat(-e) 2021 qui sera communiqué(e) le 26 novembre – 5 membres en présentiel (enfin, et quelle joie !! sur Paris et les autres en « remote »). Je ne dirai seulement que les débats étaient passionnés.
J’avais envie de voir une exposition – et vu que c’était Mardi (donc pas mal de fermetures) j’optais pour l’exposition rétrospective du peintre russe Ilya Répine (mais comme un bon provincial j’ai oublié de réserver des entrées – et me trouvais devant un écriteau « Complet pour la journée ».) Restait juste une petit tour à faire dans les salles du Petit Palais pour voir s’il y avait de nouveaux accrochages (depuis ma dernière visite) et de « jeter un coup d’œil » sur les installations de Othoniel





Je n’étais pas particulièrement emballé mais c’était peut-être aussi à cause de la déception toute relative de ne pas voir les tableaux de Repine.


J’ai eu l’impression de ne jamais avoir vu ce tableau de Léon François Comerre (Bicyclette au Vésinet) – 1903, mais probablement je n’ai pas bien fait attention dans le passé pour être captivé par le regard de cette fille.
Parlant de regard – en faisant en guise de remplacement de Répine un tour dans les galeries de l’avenu Matignon – un tableau a capté mon regard


Je ne suis pas entré dans la galerie pour connaitre le nom (ni de l’artiste ni de son modèle).




Une belle série de Combas (2021) dans la Galerie Laurent Strouk (jusqu’au 23 octobre 2021).
Le plus intéressant cependant c’était dans la Galerie Mariane Ibrahim.
Il y avait une exposition sous le titre de « J’ai deux amours »==> ’Afrique et sa diaspora (du 18 septembre au 13 octobre 2021).
Le catalogue de l’exposition dit : ….la raison d’être de l’exposition est de “ne pas parler simplement de la multiplicité des cultures et des nationalités, mais aussi de la temporalité des identités et des significations qu’elles portent avec elles”. Le titre rend hommage à la chanson emblématique de Joséphine Baker “J’ai deux amours “, (…Mon pays et Paris) et fait écho à la vision de la galerie tout en célébrant les artistes représentés, chacun issu de cultures et de pays multiples.

Plusieurs artistes – je n’ai pas pris de photos de tous (ayant le catalogue sous le bras + et vous pouvez vous promener sur le site de la galerie pour en savoir davantage)



Et si cet A. Kiefer-là vous intéresse, préparez 700.000 €

Je ne touche donc plus à mon blog pendant presque deux semaines – pour m’installer dans mon nouveau chez moi – avant de partir une semaine en Allemagne, voir ma mère & frères & sœurs ainsi que participer au rdv annuel du Réseau des traducteurs franco-allemands (RFA) à Cologne. Un automne rock’n roll.
Stay Safe !!
Bon déménagement, bonne pause et bons séjours !
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Merci…t’es trop gentille. A toaossi une bonne semaine.
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Merci pour cette belle chronique culturelle parisienne. Moi j’ai un peu perdu le chemin de la capitale des gaules depuis la fermeture des routes due au covid… Bon courage et à bientôt !
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Merci pour ton message.
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Merci pour la balade, les musées parisiens me manquent. Et bon courage pour le déménagement 😉
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