5 ans après octobre 2013 – je suis retourné à Vienne (Autriche) pour assister à la 25e rencontre du Réseau Franco-Allemand de traducteurs.
Occasion – à part a) de réfléchir ensemble sur le champs lexical et les difficultés de traduire du terme « Heimat » (!!) ou de se pencher sur la traduction pour le cinéma/la TV….b) de retrouver des amies traductrices un big bisou à M.V. (merci pour la soirée au Café Rüdigerhof et mes eskuz à J.R-S. pour ne pas avoir été en mesure de trouver qqs heures pour se revoir) – de se promener dans cette belle ville, de faire des expos…
À l’occasion du 450e anniversaire de la mort de Pieter Bruegel (dit l’ancien ou aussi « Le 2e Bosch »), le Kunsthistorisches Museum de Vienne présente une grande exposition monographique (la plus grande du monde ! dit-on partout sur les affiches), à ce peintre flamand du XVIe siècle (1525/30 – 1560) (!!). L’exposition fermera ses portes le 13 janvier 2019.
Il existe dans le monde encore une petite quarantaine de toiles de Bruegel (dont 12 conservés à Vienne) et plusieurs n’ont encore jamais été prêté pour une expo’.
Il y’avait donc une foule impressionnante (avec des « time slots » on canalisait un peu, mais tout de même…..) mais on pouvait bien rester des « heures » devant les tableaux et admirer la puissance et l’inventivité parfois cruelle de ce peintre.
(un des deux tableaux de « La Tour de Babel » présents dans cette exposition (et une vue de détail).

Adoration des Mages – Bruegel
Les saisons – La Fanaison (avec 2 détails)
Autres détails de qqs tableaux (entre autres de Dulle Griet)
Détails (de gauche à droite : Paysage à la pie sur le gibet, Paysage d’hiver – avec le piège à oiseaux, Portement de croix)
Il y avait notamment un grand nombre de gravures (impressionnantes) de ses œuvres (entre autres de Pieter van Heyden)
(Interdiction de photographier environ la moitié des œuvres présentes) – ces quelques photos d’œuvres qui servent notamment pas mal pour des cartes de vœux…(tzzz) …. mais qui, je dois l’avouer, sont d’un humanisme/humanité qui va plus loin et nous atteint encore aujourd’hui.
Un grand beau moment.
Ce qui ne m’a pas empêché de déambuler encore un peu dans les salles de ce grand Louvre de Vienne qu’est le Musée des Beaux-Arts) pour (re-)voir un Vermeer (allégorie de la peinture), un Dürer cruel (allégorie – femme avec bourse d’argent), Barthhel Beham (Femme au perroquet – 1529! – elle avait bien l’air heureuse…tzzz) et plein d’autres (que je vous épargne):

Barthel Beham
Magnifique
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Et tu n’as encore rien vu…. ce ne sont que de bribes….
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J’adore ce grand miniaturiste qu’était Bruegel, un peintre qui a largement influencé le cinéma (notamment les grandes fresques du muet)
Et je ne connaissais pas ce tableau cruel de Dürer. Merci pour cette découverte. Quant à Vermeer, c’est toujours un ravissement, bonne occasion de revoir « la jeune fille à la perle » sur Arte. 😉
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Je suis d’accord avec toi, toutefois moins pour le « miniaturiste » puisque ses tableaux sont plutôt de très grande taille – c’est juste qu’au mitan de sa carrière il a fait surtout des tableaux dans lesquelles fourmillent les personnages ou les mêmes personnages dans différentes phases d’un même récit tandis que vers la fin il se liimite à des grands tableaux avec peu de personnages (mais comme « grossis » – vu à travers une loupe.
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