Grande rétrospective – grand panorama – du peintre allemand (et contemporain) Gerhard Richter au Centre Pompidou à Paris, organisée conjointement avec la Tate Modern (Londres) et la Nationalgalerie (Berlin) ou A., Y & C & Cie l’ont déjà vu il y a quelques mois.
L’expo est différente de celle de Berlin (des amis me l’ont dit), et je dirai rétrospectivement que la petite expo à Grenoble en 2010 (https://lorenztradfin.wordpress.com/wp-admin/post.php?post=60&action=edit) était au regard de cette retrospective d’une richesse inouie à laquelle cette expo rajoute seulement une vision) plus ample et des oeuvres monumentales que GRE ne pouvait pas accueillir.
Ainsi pas de pommes (façon Morandi), juste une seule « Bougie », une seule « Tête de mort », le fameux portrait de Betty (façon Ingres) et le beau « Lectrice » (d’après Vermeer « Femme lisant une lettre ….. »), la série intitulée « 18 octobre 1977 » (Stammheim, Baader-Meinhoff)…
Quelques moments hypnotiques devant les nuages….que Richter a couchés sur la toile.
Coquecigrues et ima-nu-ages 
Et la grisaille des toits parisiens semble répondre aux coloris de ces toiles. Très beaux clichés.
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En effet – la grisaille, il y’en a pas mal….Mes amis sur FB n’aiment – pour la complétude – pas du tout cette expo’. Des mots comme incohérence, trop d’époques de création (périodes) mélangées, manque de propos artistique….
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