« Les jours de repassage, dans la maison qui dort, la bonne n’est pas sage, mais on la garde encore…. » (La complainte folle – C. Trenet)
Dans ma série « soutien au cinéma français » j’ai vu hier soir, après une avalanche de films durs (ou insignifiants – tel le « Discours du roi »), la comédie « Les femmes du 6e étage » (de Philippe Le Guay avec F. Lucchini, S. Kiberlain et N. Verbeke).
Très prévisible et trop caricaturale (les enfants des bourgeois sont exécrables, Sandrine K. en rajoute). Toutefois, la forme chromo des années 60 avec un happy end et tutti quanti, laisse entrevoir parfois de petits accents de critique bien d’aujourd’hui….qu’on aurait aimé voir développé. Malheureusement, ces moments sont pas assez costauds pour garder longtemps ce film en mémoire. On en a parlé, quoi, 5 minutes…au dîner. – Vraiment, le film n’est certainement pas aussi bon que le vins que Mössiö sort de sa cave, et certainement pas aussi délicieux que les oeufs à 3 minutes dont il a besoin pour son petit déj.