Point de meilleur endroit actuellement que les salles obscures climatisées.

De retour des vacances j’avais envie de (re-)"Partir" avec Kristin Scott Thomas, une de mes actrices fétiches. Malheureusement ça a tourné un peu en eau de boudin.
Sur le papier, la rencontre de la femme mère au foyer sur le point d’installer un cabinet de kiné sur son domaine (ou plutôt sur celui de son mari) avec un ouvrier gentil à l’accent espagnol craquant (Sergi Lopez) avait de quoi séduire une fleur bleue comme moi, mais Catherine Corsini (la réalisatrice) a voulu traiter trop de sujets, n’a pas osé de suivre un chemin prétracé par "La femme d’à côté", mais a voulu faire évoluer l’histoire entre les deux êtres (formidable!! les 1ères 30 minutes) sous le signe de Mammon (le vil argent) quitte à faire travailler la belle kiné dans un champs de melons et à souligner avec maintes coups de marteau scénaristiques que c’est l’argent et les bonhommes qui dirigeraient le monde….
Cela se laisse regarder à cause et surtout pour les deux acteurs principaux (Yvan Attal joue pas mal le mari pas si improbable si j’en crois les remarques glanées à la sortie – jusque dans son ronflement).


De retour des vacances j’avais envie de (re-)"Partir" avec Kristin Scott Thomas, une de mes actrices fétiches. Malheureusement ça a tourné un peu en eau de boudin.
Sur le papier, la rencontre de la femme mère au foyer sur le point d’installer un cabinet de kiné sur son domaine (ou plutôt sur celui de son mari) avec un ouvrier gentil à l’accent espagnol craquant (Sergi Lopez) avait de quoi séduire une fleur bleue comme moi, mais Catherine Corsini (la réalisatrice) a voulu traiter trop de sujets, n’a pas osé de suivre un chemin prétracé par "La femme d’à côté", mais a voulu faire évoluer l’histoire entre les deux êtres (formidable!! les 1ères 30 minutes) sous le signe de Mammon (le vil argent) quitte à faire travailler la belle kiné dans un champs de melons et à souligner avec maintes coups de marteau scénaristiques que c’est l’argent et les bonhommes qui dirigeraient le monde….
Cela se laisse regarder à cause et surtout pour les deux acteurs principaux (Yvan Attal joue pas mal le mari pas si improbable si j’en crois les remarques glanées à la sortie – jusque dans son ronflement).

